1 Navigation
vers Kom Ombo |
 |
 |
 |
 |
 |
 |
Naviguer
sur le Nil, c'est allier le plaisir du farniente et le bonheur
d'observer les rives, de surprendre hommes et ânes immobiles à l'ombre
des palmiers, gamins jouant au bord de l'eau, de suivre sur la berge la
cohorte des femmes, silhouettes noires bravant la chaleur pour laver le
linge et puiser l'eau... |
 |
 |
 |
 |
 |
 |
 |
 |
 |
 |
|
|
 |

|
Sur la
route d'Edfou à Assouan, le Nil s'élargit et forme une courbe
pittoresque dévoilant sur sa rive droite un terte où se dresse la
double temple de Kôm Hombo, de l'époque ptolemaïque. Chacun des
sanctuaires a son propre axe, parallèle à l'axe commun. |
2 Le
temple de Kom Ombo dédié à Sobek (à tête de crocodile) et Horus
(à tête de faucon)
Le temple de Kom Ombo est un temple double, consacré
à Haroéris à tête de faucon (Horus l'Ancien) et à Sobek, le
dieu-crocodile.
Dans le second couloir périphérique, un panneau détaille
les instruments de chirurgie, pinces, bistouris, sonde, balance.. |
 |
 |
|
Les musiciens jouent du hautbois,
du naï, une flûte en roseau sans bec, du oud ( le
luth arabe ), du qanun, une cithare horizontale à
cordes pincées. |

|
 |

|

|
La cour à
portique vue du pylone. La dualité du temple est soulignée par la
symétrie des deux disques solaires flanqués d'uraeiqui décorent les
linteaux du double accès aux salles hypostyles
A droite, vestige
de colonne dans la cour du temple.
|

|
 |

|
 |
 |

|
 |
 |

|
Le plafond est
décoré de vautours aux ailes déployées, coiffés alternativement de
la toque rouge du Nord et de la couronne blanche du Sud.
Sur les parois sont représentées des scènes
d'offrandes traditionnelles. |

|

|
 |
 |
 |
 |
 |
 |
 |
 |
|
|
|
|
|