Lieux de culte du Caire

La mosquée Er Rifaï, où sont inhumés Ismaïl Pacha, le roi Farouk et le dernier Shah d'Iran.
				mosquée Er Rifaï
A gauche, la mosquée Sultan Hassan (du XIVe) A droite, la mosquée Er Rifaï (de 1912)		mosquée Er Rifaï	mosquée Er Rifaï	Entrée	Intérieur
mosquée Er Rifaï (intérieur)
	Tombeau du roi Farouk

		Tombeau de Mohammad Reza Pahlavi Shah d'Iran
			Aqueduc du Caire

			Nous sommes à Mar Girgis ou Saint-Georges, lieu saint des trois grandes religions, le christianisme, le judaïsme et l’islam.
L'église Saint-Serge (Abou Sergah) Dédiée aux deux martyrs Sergius et Bacchus, morts pour leur foi, au IV^e siècle, a été construite au V^e siècle dans le style basilical, au dessus de la crypte qui avait servi de refuge à la Sainte-Famille; elle se compose d'une nef principale et de deux nefs latérales. C'est la plus vieille église du Caire.

La crypte qui a servi de refuge à la Sainte-Famille
La synagogue ben Ezra du Caire, la plus ancienne et la plus belle d’Egypte, est unique. Son architecture est chrétienne, ses arabesques sont islamiques, mais ses ornements, les inscriptions qu’elle porte et, bien sûr, son culte sont juifs.
	L’histoire de cette synagogue est mouvementée. La légende dit que c’est à cet endroit que la fille du pharaon a recueilli Moise dans son panier. La légende dit aussi que Moise a grandi dans ces mêmes lieux. C’est Jeremie, fuyant Nabuchodonosor et se réfugiant en Egypte, qui, avec quelques fidèles, aurait construit la synagogue. Un parchemin contenant le texte de la Torah, attribué à ezra sopher (ezra le scribe), y fut déposé et conservé pendant des siècles.





L'église suspendue
L'église " Al Moallaqa " . (La suspendue)	Construite au Ve siècle, dans le style basilical, sur le portail sud du fort de Babylone, d'où son nom de suspendue, comporte une nef principale, deux nefs latérales et trois autels dans la partie Est de l'église. Ses colonnes de marbre et la chaire qu'elles soutiennent sont d'une exécution remarquable. On peut admirer, ornant le mur Sud de cette très belle église, une collection de magnifiques icônes dont certaines remontent aux premiers temps du Christianisme.



Aux portes du Caire, entre la Citadelle et la porte de Bab el-Foutouh, s'étend hors des murs et au pied du Mokkattam : la Cité des Morts. Dans les années quatre-vingt, les cimetières ont été colonisés par des familles pauvres. Celles-ci ont utilisé les espaces vides entre les tombes pour construire d’abord de petits abris puis de véritables maisons. Les autorités de la ville y ont aménagé des points d’eau et des lignes électriques : ces cimetières sont devenus des bidonvilles de près de 350 000 personnes (l’équivalent de la population de Toulouse).C'est devenu une véritable cour des miracles au milieu des mosquées, mausolées et coupoles splendides



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Palais du Baron Empain à Héliopolis		Caire et pollution